SANTÉ - Porcher

L’EAU - INDISPENSABLE À LA VIE ET AUX SOINS MÉDICAUX

LES MALADIES NOSOCOMIALES CONTRACTÉES AU COURS D’UN SÉJOUR À L’HÔPITAL

Plus que jamais d’actualité dans ce contexte sanitaire particulier, la lutte contre les infections dans les établissements de santé nécessite des mesures de prévention rigoureuses, que ce soit au niveau du personnel (hygiène des mains) ou des équipements (contrôle de l’eau, désinfection du matériel).

Les problèmes liés aux infections nosocomiales existent depuis que les hôpitaux et les maisons de repos existent. Comprendre les enjeux, élaborer des solutions.

C’est pourquoi nous proposons des solutions plus respectueuses et qui peuvent faire une réelle différence tant sur l’environnement que sur vos économies :

Pour les services techniques des établissements de santé, adapter les équipements de distribution de l’eau aux spécificités et aux risques de l’environnement hospitalier est donc un souci permanent. La part de la contamination microbienne dans la survenue des infections nosocomiales est difficile à évaluer. Il est cependant fréquent de trouver des descriptions en lien avec l’eau dans la littérature technique : – Absorption par voie orale – Rinçage du matériel médical – Douche, contact direct avec de l’eau contaminée Laqualitéde l’eauest doncunenjeuvital dans les établissements de santé. C’est pourquoi nous vous offrons les solutions pour garantir une eau saine et une hygiène parfaite. Le biofilm est un ensemble de micro-organismes dans lequel nous retrouvons principalement des bactéries et des champignons. Il est naturellement présent dans nos canalisations et nos robinetteries. De nombreuses études montrent qu’il est impossible à éradiquer, c’est pourquoi il est important de pouvoir le maîtriser. Grâce aux flexibles de toutes nos robinetteries en Polyéthylène Réticulé, nous permettons, de par sa texture interne lisse, de réduire l’adhérence du biofilm, et ainsi lutter contre les infections. La maîtrise du biofilm : un enjeu primordial !

En France, on estime que le risque d’infection nosocomiale intervient dans 5 % des hospitalisations, soit 750 000 cas par an. 4 000 personnes en France décèdent chaque année, plus que sur la route (source : Institut national de la santé et de la recherchemédicale, février 2015). Le risque varie selon le profil du patient, le niveau d’hygiène ou encore les soins pratiqués. Les germes responsables proviennent le plus souvent du patient lui-même , mais ils sont transportés sur le site infectieux par l’intermédiaire du personnel ou de dispositifs médicaux.

Décès par an en france 4000

750000 Infections par an en france

6 à 12 litres d’eau par chasse d’eau

Les infections d’origine exogène (résultant d’une contamination par des micro-organismes provenant de l’extérieur) sont causées entre autres par la transmission d’agents pathogènes par le biais des personnes, des objets, de l’air et de l’eau. Dans ce cas, les risques sanitaires, comme l’apparition de la légionellose, représentent un défi pour l’hygiène de l’eau potable. Une concentration accrue en légionelles est souvent le résultat de problèmes dans le système de distribution, lorsque l’eau stagne, ou lorsqu’elle est chauffée de 20 à 45°C. Les légionelles se multiplient alors rapidement, exposant notamment les patients au système immunitaire affaibli à des risques accrus.

48 h délai minimal entre une hospitalisation et la survenue d’une infection nosocomiale

5 litres d’eau qui coule par minute

150 à 200 litres pour un seul bain

1 patient

hospitalisé sur

- Des robinetteries avec des débits limités à partir de 3L/min pour des économies significatives. - Des électroniques à partir de 2L/min. Pour Intellimix, l’économie d’eau réalisée est de 90% par rapport à unmitigeur traditionnel. - Une gamme d’électronique avec un arrêt automatique lorsque les mains ne sont pas détectées. - Notre technologie Blue Start, avec son ouverture en eau froide, qui permet d’économiser de l’énergie, et de ne pas consommer de l’eau chaude à l’ouverture.

est concerné 20

hôpitaux et ERP. 1816

Les infections nosocomiales liées à l’aérosolisation de contaminations microbiennes présentes en environnement humide sont nombreuses (Pseudomonas aeruginosa, Legionella,...).

cas de Légionellose survenus en 2019, dont 11% dans les

Classification Ch3

Trois bactéries représentent la moitié des germes isolés dans le cadre d’infections nosocomiales

Règlementation répondant à la RT 2020 pour les bâtiments BBC, pour le marché public. - Économie d’eau : débit compris entre 9 et 12L/min. - Économie d’énergie : limitation de

26% 16% 8,4% Escherichia coli, qui vit naturellement dans les intestins de chacun. Staphylococcus aureus , présent dans la muqueuse du nez, de la gorge et sur le périnée d’environ 15 à 30 % des individus. Pseudomonas aeruginosa, (PYO) qui se développe dans les sols et en milieu humide (robinets, tuyauteries...).

L’eau est une ressource précieuse, préservons-la !

Naturellement, la salle de bain est l’un des endroits clé où il est possible de faire des économies d’eau. De par leur autonomie limitée, les personnes résidant dans les centres hospitaliers et les EPHAD font souvent leur toilette au lavabo, d’une durée plus longue qu’une simple douche, ce qui entraîne une consommation d’eau plus conséquente qu’une toilette traditionnelle sous la douche.

température indiquée sur le mitigeur 50°C par un professionnel (pour la désinfection des réseaux).

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